Bien sur les excentricités vestimentaires que j’affectionne à paris ne sont pas de mise, d’ailleurs ici je passe presque tout mon temps nu pieds. Dans la maison, au jardin ou sur les chemins de la plage croyez-le ou non mais les chaussures sont superflues. J’ai bien embarqué une paire de talons de 12 en prévision d’une éventuelle sortie en boite… mais soyons honnête et admettons qu’ils sont plus là pour l’effet placebo que de par leur réelle utilité.

Quoi dire… on marche beaucoup, on regarde quelques bons classiques en DVD, je ne sais pas par quel espèce de miracle mais je me gave de fruits, moi qui suis principalement carnivore. J’ai bien faillis prendre un coup de soleil, malgré les tartines d’indice 50 dont je m’enduis. Et oui, que ne ferais-je pas pour entretenir mon teint blanc de pin-up. D’autant que j’ai plusieurs shoots en perspective, en juillet. Dans des trains anciens, une clinique désaffectée, peut être une carrière… en fait j’ai plein de bonnes raisons de soigner mon teint de palichonne.

Hier j’ai passé un certain temps à essayer de faire une photo de vague réussie, pendant que nous pique niquions sur la côte sauvage. Malheureusement ces foutues vagues s’arrangeaient pour se déchainer a chaque fois que je rangeait mon appareil et se calmer à chaque fois que je le ressortais. Saloperie….